Je construis des choses qui fonctionnent. Films. Entreprises. Systèmes.
Chaque projet commence par une intention claire — un problème non résolu, une inefficacité, un vide créatif — et évolue grâce à une exécution rigoureuse, où structure et précision rencontrent art et prise de risque. Qu’il s’agisse de produire un film, de concevoir un processus de fabrication ou d’ingénierie un flux de travail créatif à forts enjeux, mon rôle reste le même : transformer une idée abstraite en réalité. Sans compromis. Et en rendant investisseurs, clients et spectateurs heureux au passage.
J’ai cofondé Ektaron en 2011 pour produire des films de fiction et des documentaires de long métrage qui durent. Peu satisfait des méthodes classiques — financements locaux, gestion d’équipe figée — j’ai conçu un modèle misant sur l’autonomie, en mobilisant du capital transfrontalier (financier comme humain), l’excellence technique et une vision sans concessions. Chaque projet est structuré avec précision, communiqué en toute transparence aux financiers et aux équipes, et affranchi des lourdeurs traditionnelles de la production.
Pour sécuriser les investissements, Ektaron crée une société dédiée par film — et nous investissons massivement dans notre catalogue de 8 longs-métrages à venir — isolant ainsi les risques financiers tout en simplifiant la distribution des revenus. Les investisseurs détiennent des parts proportionnelles — tout est transparent, appliquant le modèle américain aux réalités européennes. Même les organismes publics et fonds de soutien deviennent copropriétaires des projets, garantissant une responsabilité directe et une clarté financière absolue.
Mais les structures financières ne suffisent pas à définir le succès. Avant même de lancer un projet, nous déterminons ce que réussir signifie : est-ce un film conçu pour générer du profit, avec des indicateurs de vente stricts ? Ou bien un projet patrimonial, dont la valeur se mesure à son impact culturel, sa présence dans des festivals prestigieux, ses critiques dans des publications centenaires et son empreinte artistique unique ?
Avec Idelekka, cofondée un peu plus tard, j’ai étendu cette approche à l’invention et à la fabrication. Nos outils et systèmes sont conçus pour la performance, pas pour suivre les tendances ; pensés pour résoudre des problèmes, pas pour séduire les banques. Lorsqu’une production cinématographique exige des rigs de mouvement sur mesure, une climatisation silencieuse mais puissante — sans sueur pour les acteurs, sans bruit parasite pour les ingénieurs du son — ou des innovations structurelles sur le plateau, nous ne restons pas à attendre que l’industrie rattrape son retard. Nous concevons, nous prototypons, nous fabriquons. À la suisse : petit, efficace, précis.
Sylipsi, cofondée en 2000, incarne une autre facette de mon travail : la fusion entre langage, design et architecture des systèmes. Nous étions une agence publicitaire intégrée, clé en main — en télétravail, vingt ans avant le COVID. À l’intersection entre logique business (mes années à ESCP Europe ont payé) et complexité des marques (affinée à l’Académie Stroganov des arts et de l’industrie), où chaque pixel servait un but précis : résoudre un problème commercial pour le client.
Tout ce que je crée repose sur une conviction fondamentale : la forme suit la fonction, mais la fonction suit l’intention. Qu’il s’agisse de diriger une production de film avec plus de 150 personnes (le nombre de Dunbar fixe une limite), d’assembler une équipe créative et technique hautement performante n’importe où dans le monde, ou de structurer une nouvelle entreprise avec le soutien des pouvoirs publics et dans le cadre légal local, j’aborde chaque projet avec la même rigueur — analyser les contraintes, optimiser les systèmes, et garantir une exécution à la hauteur de la vision.
Comme l’a résumé un PDG d’un de nos clients : « Avec Anatoly, vous ne traitez pas juste avec une ‘personnalité créative’, mais avec un partenaire d’affaires ultra-professionnel, prêt à affiner et itérer le travail de son équipe jusqu’à ce qu’il remplisse parfaitement son objectif. »
Si vous avez besoin d’un stratège universel, orienté objectifs, transversal et trilingue EN/FR/RU — quelqu’un qui a passé 28 ans à assembler les ressources pour bâtir des projets marquants et cultes que personne d’autre n’a osé tenter — alors, je suis votre homme.
Jetez un œil à mon curriculum vitae détaillé pour en savoir plus, et contactez-moi pour discuter de vos besoins.
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