Un coureur en mouvement génère beaucoup de chaleur, dont 1/3 s’échappe par la tête et les mains découverts. Les nerfs dans les mains nues envoient un mauvais signal au cerveau qui l’interprète comme si tout le corps avait froid. Les coureurs ajoutent des habits, surchauffent, saturent les textiles par la sueur et bientôt refroidissent pour de vrai. Une première couche fine, un coupe-vent, un bonnet et des gants auraient suffi.
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